• jane birkin : amour des feintes

    Amours des feintes est un album de chansons écrites et composées par Serge Gainsbourg, interprétées par Jane Birkin, sorti en 1990.

    La pochette reprend un portrait à l'encre de Jane Birkin, dessiné par Gainsbourg lui-même, qui revient pour l'occasion à sa vocation première de peintre. L'histoire dit que la plume s'est brisée, maculant le dessin de quelques taches qui ont été gardées.

    Trois clips sont réalisés pour accompagner la promotion de l'album. Le premier, pour « Amours des feintes », est réalisé par Serge Gainsbourg. Jane Birkin y erre dans un couloir en spirale tapissé de reproductions de l'infante peinte par Diego Vélasquez. Le second est réalisé par Patrice Chéreau sur « Et quand bien même » : entièrement en noir et blanc, il repose principalement sur le jeu d'actrice de la chanteuse. Jane Birkin réalise elle-même le dernier clip, pour « Love fifteen », sur un béguin pour une adolescente, autour d'un court de tennis.

    Paroles
     
    Amours des feintes
    Des faux-semblants
    Infante défunte
    Se pavanant
    Cartes en quinte
    S'édifiant
    Le palais d'un prince
    Catalan
    Amours des feintes
    Seul un can-
    Délabre scint-
    Ille au vent
    Où l'on emprunte
    Des sentiments
    Le labyrinthe
    Obsédant
    Et comme si de rien n'était
    On joue à l'émotion
    Entre un automne et un été
    Mensonge par omission
    Amours des feintes
    Des faux-semblants
    Infante défunte
    Se pavanant
    Etrange crainte
    En écoutant
    Les douces plaintes
    Du vent
    Amours des feintes
    Au présent
    Et l'on s'éreinte
    Hors du temps
    Et pourtant maintes
    Fois l'on tend
    A se mainte-
    Nir longtemps
    Le temps ne peut-il s'arrêter
    Au feu de nos passions
    Il les consume sans pitié
    Et c'est sans rémission
    Amours des feintes
    Des faux-semblants
    Infante défunte
    Se pavanant
    Couleur absinthe
    Odeur du temps
    Jamais ne serai
    Comme avant
    Amours des feintes
    Au loin j'entends
    Là-bas qui tinte
    Le temps
    De ces empreintes
    De nos vingt ans
    Ne restent que les teintes
    D'antan
    Qui peut être et avoir été
    Je pose la question
    Peut-être étais-je destinée
    A rêver d'évasion.
    « rema : calm downvanessa paradis : mosquito »

  • Commentaires

    1
    Lundi 17 Juillet 2023 à 21:33

    très belle chanson



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